Je suis née le 24 Décembre 1991 à 22h56 exactement. Je suis âgée de 20ans maintenant. Je suis originaire Espagnol, laissez-moi deviner, on ne le croirait pas n’est-ce pas ? Pourtant c’est bien vrai. J’ai déménagé il y a deux ans d’avec mes parents, nos liens étaient distant, non pardon, pour résumer, mon père était un alcoolique invétérer et ma mère elle, je m’entendais bien avec. Mais je ne sais ce qu’il avait contre elle qui faisait qu’elle restait avec lui malgré l’alcool et la violence qu’il avait envers elle. Bref. Je me suis installée à San Francisco. Le point positif, c’est que j’ai une richesse illimitée, mais je ne l’ai jamais dit à personne même pas à mon lapin – Pancake, où à mon chien - Corazon. Non à personne.

Quoi qu’il en soit, malgré tout ce que vous pourrez croire mes chers, je ne suis pas malheureuse, et non, je suis extrêmement bien dans ma peau. Je suis également fouineuse, très très fouineuse. Normal, mon père était un détective pendant des années, enfin, c’était avant qu’il ne boive. Le pire c’est qu’il était très doué, et ma transmis ce… « Don ». Je suis donc très douée pour découvrir les choses, bonnes ou mauvaises de votre existence si malheureuse. Sachez seulement que moi, contrairement à vous, je suis une humaine, une simple et banal humaine. Je sais plus de choses que vous ne pourrez croire, et derrière mon visage angélique, je découvrirais qui vous êtes, que vous soyez du coté du bien ou du mal.

En tant qu’humain on dit toujours qu’on est du coté du « bien » ce qui est un euphémisme. Sachez que moi, je suis ni du coté du bien, ni du coté du mal. Pour obtenir ce que je veux, je suis prête à tout, et à tout mettre en œuvre, vous voulez un exemple c’est ça ?!

▫Si vous avez quelque chose qui m’appartient, ou que vous êtes en train de me faire du charme pour me dérober quelque chose, soyez sur d’une chose, je serais pire, bien pire que vous, que vous soyez démon, ange, EDL, ou même un autre humain, sachez que je peux être pire que vous réunis.

Qui aurait envie de me faire du mal avec mon visage si angélique ?! C’est une bonne question. Maintenant, je vous avouerais que je suis extrêmement rancunière enfin, c’est peu dire, quant je dis sa, c’est juste que les coups de crasse, je ne les oublies pas, et oui je suis une simple humaine, mais vous m’aimez n’est-ce pas ? Oh, dommage…

Si vous voulez en savoir plus mes petits loups, risquez-vous à me connaitre, je ne déballe ma vie à personne, essaye de me faire craquer

Gabrielle était assise sur la chaise face à son bureau, quant elle entendit sa mère frapper à la porte de sa chambre. Elle rêvassait à la vie qu’elle aurait voulue avoir. Son père ne serait pas un alcoolique, et sa mère serait heureuse, et ne serait plus forcée de rester avec son père. C’est étrange, généralement, les enfants souhaitent que leurs parents restent ensembles très longtemps. Ce n’était pas le cas de Gabrielle.

Quoi qu’il en soit, la jeune femme regardait celle-ci en souriant. Elles se regardèrent toutes les deux, mais rien. Aucun son ne sortait de la bouche des deux jeunes femmes. La mère de Gabrielle avait eu celle-ci très jeune, 16 ou 17 ans. Sa mère, qui était sourde à ce que Gabrielle disait de son père, cela rendait Gabrielle dingue, mais elle aimait par-dessus toute sa mère. Alors sa mère s’approcha d’elle, et déposa sur son bureau, un collier. Une chaine en or blanc, au bout, pendait un magnifique pendentif en forme de papillon, ou une émeraude bleue y est incrustée. Sa mère lui avait fait promettre de toujours le porté. Ce qu’elle fit toujours, c’était la seule chose où elles étaient en accord. Deux mois plus tard, Gabrielle, partait en direction de San Francisco.

Elle a rencontré un homme un jour. Quant elle à enquêté sur lui, la seule chose qu’elle avait trouvé était un dossier vieux. Alors elle en avait déduit qu’elle était face à quelqu’un qui n’était pas humain, du moins pas comme elle. Alors depuis ce jour, elle se méfie de tout le monde constamment. Mais pas seulement. Gabrielle ignore pourquoi sa mère lui a donné ce pendentif, mais elle ne va jamais rompre celle-ci. Maintenant que ses parents sont décédés, Gabrielle pense qu’elle doit être encore plus prudente. Ce qui est plutôt drôle, parce qu’elle détestait son père, et pourtant, lui et sa mère ont toujours fait en sorte de la protéger.