Amber est une jeune femme de 31 ans.

Son rêve? Devenir écrivain. Malgré sa motivation, la page blanche la bloque de suite et le peu de chose qu'elle écrit n'est jamais concluant. Pourtant, elle pourrait y arriver, et elle le sait. Mais tout cela va bientôt changer, elle vient décider de s’y remettre plus sérieusement et ainsi elle publiera peut-être bientôt un roman, qui c’est ?

Bien sûr elle adore lire, spécialement les romans de science-fiction et fantastique.

Elle travaille à l'université, en tant que bibliothécaire. Cette une femme très intelligente et très méticuleuse. Elle est toujours prête à aider les jeunes étudiants, car elle aime aider son prochain malgré son côté démoniaque.

Par contre, il lui arrive d'avoir des tocs. Par exemple, elle ne peut pas dormir si elle ne retourne pas tous les coussins de sa chambre. Au réveil, elle les remettra dans le mon sens. Mais elle y travaille!

Amber connait Phoebe du temps où elle étudiait la psychologie à l'université. Elle venait très souvent à la bibliothèque et Amber l'aidait au mieux. Depuis l'obtention de son diplôme, les deux femmes ne se sont plus revu mais Amber garde un très bon souvenir d'elle… Elle lit toujours sa rubrique dans le Bay Mirror qu’elle aime particulièrement!

Aujourd’hui je sortais de la bibliothèque et me dirigeais vers chez moi. Pour cela je devais traverser un parc magnifique, la senteur des fleurs embaumés l’air, j’aimais rester dans ce parc et lire un bon roman. Mais cet après-midi je n’avais pas le temps, je devais rentrer rapidement car je devais faire des recherches dans mes bouquins qui se trouvaient chez moi pour un étudiant, il m’avait posé une colle et je détester ça. Mais bon je l’acceptais et voulais y remédier. Une fois le parc passé, dans une rue j'aperçu une jeune fille étendu par terre, elle baigner dans le sang. Je me précipita alors vers elle pour lui porter secours. Je reconnu le pendentif qu’elle portait, c’était un symbole de sorcellerie, elle était une sorcière. Elle devait faire partie d’un clan. Tout en réfléchissant je lui portais les premiers soins que j’avais appris il y déjà plusieurs année lors d’un stage chez les pompiers. Je savais que ça l’aiderai seulement un peu, mais que de toute façon son être de lumière arriverai bientôt. Pour la soulager un peu je lui envoyait aussi des images dans sa tête pour qu’elle se sente mieux, et qu’elle ne se voit plus dans une ruelle insalubre, blessée, dans un mauvais état. Elle se trouvait maintenant dans un champ de fleurs avec un beau soleil rond et chaud. Elle était belle malgré le sang dans ces cheveux et ses vêtements blond comme les blés, elle était blessé au niveau de l’épaule, mais j’avais l’impression qu’elle était là depuis un moment, mais que ce passait-il ? Où était passé son protecteur ? Ça risquait de devenir critique… Je ne pouvais pas laisser comme ça, je décida alors d’appeler les secours, je sortis mon téléphone, lorsque une lumière scintillante et bleuté apparu pour finalement laisser place à une jeune femme qui n’avait pas l’être dans un meilleur état qu’elle. Elle avait dut se faire attaquer, décidément toutes deux n’avaient pas de chance.
Elle me regarda, comme si elle avait lu en moi et sut que je n’étais pas une femme comme les autres, elle eut alors un moment d’hésitation, puis s’approcha de sa protégée, se pencha sur elle et positionna ses mains sur sa blessures. De la lumière sorti alors ses paumes, je n’avais jamais vu ça, je trouvais ça tout simplement magique.

Elle me demanda alors : « Qui êtes-vous ? Et que faites-vous là ? »

Je lui répondis alors : « Ne vous inquiétez pas je m’appelle Amber W. Blackriver, je suis bibliothécaire à l’université du bout de la rue, après le parc. Je me dirigeai chez moi quand je l’ai trouvé, je suis venu l’aider. Je sais que vous savez ce que je suis mais ne vous méprenez pas je ne vous attaquerez pas, ni l’une ni l’autre, je ne suis pas un vrai démon. J’ai d’ailleurs donné des illusions qui ont pu soulager votre protégée. J’espère que ça ira pour elle… et pour vous aussi vue votre état. Je vous laisse maintenant si vous avez besoin j’habite dans la maison blanche en face. Au revoir. »

Je pris la route de ma demeure, me retourna et la vue s’éclipsait avec sa protégée, elles disparurent dans un éclat de lumière qui éblouissait la ruelle.