Liberty M. PendragonPrincess of the underwood Messages : 240 Date d'inscription : 22/05/2011 Localisation : Vous voulez que je vous envoie une carte ? Age : 17 years ago
Pouvoirs : -Eclipse
-Morphing
-Organisme
-Guérison Niveau : 2 Points Rpg : 197 Statut Rp : Disponible
| Sujet: Les éclairs dans le ciel Ven 10 Juin - 21:55 | |
| Les éclairs dans le ciel La pluie martelait le bitume. Les nuages cachaient la lune, ronde. Les lampadaires diffusaient une faible lueur dans la rue. Les arbres s'agitaient violemment, le vent hurlait, les feuilles mortes volaient dans tous les sens. Les rues avaient été désertées depuis longtemps. Quelques lumières provenaient des habitations. Les gouttelettes de pluies s’écrasaient avec violence sur les fenêtres et les vitres. Soudain, il eu une alcamie, on entendait seulement le vent mugir, la pluie avait cessé. Le vent fit de même, mais doucement, plus lentement. Le silence ce fit peu à peu. Les secondes passèrent, les minutes s'écoulèrent dans le calme et un silence lourd. On entendait plus rien, personne n'osait sortir de chez soi, préférant rester au chaud dans son logis que de rentrer dans ce froid qui vous glacez jusqu'au bout des ongles. Les nuages laissèrent apparaître la lune pendant quelques instants puis la cachèrent une nouvelle fois. Le vent revint plus puissant, plus violent. Presque aussitôt la pluie recommença à tomber avec autant de brutalité qu'avant, elle fut bientôt remplacée par de la grêle. La grêle rebondissait et venait s’explorer sur tous ce qui lui semblait être assez dur pour qu'elle puisse s'éparpiller. Certains allèrent s'écraser sur une maison de style victorienne, une petite lucarne en dessous de l'importante demeure, quand la lumière était présente, elle éclairait d'une douce lueur la cave. A ce moment là, celle-ci était plongée dans une obscurité oppressante. La petite ampoule dénuée de protection et pendouillante grâce à quelques fils électriques couverts de poussière était éteinte. Les bruits de l'extérieur masquaient les craquements habituels de la vieille bâtisse et tous mouvements pouvant indiquer que quelqu'un était dans la demeure.
Une faible plainte étouffait par la tempête provint des ténèbres de la cave. D'un coup une faible lueur arriva de l'ampoule et éclaira la pièce souterraine, révélant quatre personnages, un homme attaché à une colonne qui soutenait le plafond, une femme ficelée à un sommier métallique, et deux enfants dos à dos, liés par les mains, la taille et les épaules. Deux petits garçons, des jumeaux, âgés à peine de six ans. Celui qui était attaché à la colonne , portait une chemise ouverte révélant un torse musclé, plusieurs boutons manqués à l'appel, il avait un jean déchirait à maints endroits, ses pieds étaient nus comme pour toutes les personnes retenus dans la cave. Ses cheveux étaient ras, ses yeux étaient un mélange de bleu et de vert. La femme n'avait pour haut qu'un soutien-gorge, elle avait comme bas un pantacourt couleur kakis. Elle avait une chevelure rousse qui tombait en cascade sur ses épaules dénudées, ses pupilles ressemblaient à deux émeraudes, ses lèvres étaient rouge comme le sang, sa peau était blanche comme la neige. Les fils qui la retenaient attaché étaient en ferrailles et la plupart étaient rouillés. Ils laceraient la chaire de la femme qui tentait vainement de se libérer ce qui ne faisait qu'empirer son état, quelques gouttes de sang se mirent à couler sur sa peau pâle. Un morceau de tissu l’empêchait de pouvoir parler, ses poignets étaient liés ainsi que ses chevilles. La peur se lisait dans ses yeux. Les deux petits garçons gigotaient désespérément, sanglotant. Ils étaient bruns avec des yeux noirs, l'un les portaient jusqu'aux oreilles, l'autre légèrement plus courts. Le premier avait un mini blouson en cuir noir et un jean troué au genou de la même couleur que son haut, le second avait un pantalon en tissu fin et un T-Shirt blanc avec un mickey en dessin sur lui.
La pièce était composée de deux piliers au centre de la pièce qui supportaient le plafond, les murs étaient grisâtres, sur l'un d'entre eux il y avait un établi où étaient rangés des outils. Les autres étaient dénués d'objets il n'y avait qu'une seule lucarne et l'ampoule, rien d'autres. L'escalier était en bois et il avait aussi une rambarde du côté gauche, l'autre partie était collé à un mur. La porte s'ouvrit éclairant ainsi un peu plus la pièce souterraine, les marches se mirent à grincer pendant qu'un individu les descendait tranquillement. Il avait une cicatrice qui commençait à la racine de ses cheveux du côté droit, traversait en diagonale sa figure passant par l'arcade sourcilière, le nez, fissurée ses lèvres et se terminait au menton. Elle s'étendait sur la partie gauche en plusieurs veines blanchâtres qui gondolaient sa peau. Le reste de la cicatrice était rouge. Sa peau était légèrement bronzée. Ses yeux étaient gris. Des gants blancs en latex recouvraient ses mains. Il descendait lentement les escaliers, observant ses proies avec un sourire en coin malsain. Les quatre personnes le regardaient, terrorisées.
Une fois arrivée en bas des marches, il resta là quelques minutes avant de se diriger vers l'homme il tourna autour de lui puis se dirigea vers l'établi. Il prit une barre métallique et revint vers lui. Il se remit à tourner autour de l'homme tel un rapace tournant autour de sa proie avant de fondre sur elle. Les minutes passèrent en silence, on pouvait juste entendre ses pas et les sanglots des deux enfants, ainsi que la grêle frappant la lucarne. Puis, soudain une partie du bâton en métal vint s'enfoncer dans le dos de la victime transperçant chaire et muscles ainsi qu'un poumon. Il le tourna à l'intérieur de l'organisme du père de famille l'enfonçant un peu plus puis il le retira lentement. L'homme avait crié de douleur. Il essuya le sang sur l'épaule de sa victime puis se remit à tourner autour de lui. Il eu un sifflement dans l'air puis un craquement, la barre s'était abattue sur la jambe de l'individu et avait cassé l'os. Un cri retenti dans la pièce souterraine. Puis l'air siffla à nouveau et en encore une fois il eu un craquement puis un long cri de douleur. Tous ceci ce répéta à plusieurs reprises, les os se brisant les uns après les autres, les cris se répercutant sur les murs de la cave. Puis, au bout d'un moment le silence ce fit, à la place de l'homme il y avait maintenant une forme informe, désarticulée, sans vie. Le tortionnaire enfonça une dernière fois sa barre dans l'estomac du père et la laissa où elle était.
Ses pas le dirigèrent vers le sommier où était attachée la femme, il lui caressa du bouts des doigts sa joue puis alla vers une prise électrique et brancha un fil, il retourna vers elle et pris dans sa main un interrupteur, il ouvrit la bouche et fit entendre sa voix :
-Crie pour tes enfants ... crie pour moi !
Alors il appuya sur l'interrupteur, un sourire aux lèvres qui ressemblait puis à une grimace qu'à un sourire. La femme essaya d'hurler à travers son bâillon, les larmes des enfants redoublèrent d'intensité en voyant leur mère se faire électrocuter. L'électricité fut couper, les minutes passaient la grêle avait céder sa place à la pluie, puis l'homme appuya une nouvelle fois sur l'interrupteur et l'électricité revint. La mère se convulsa pendant que le tortionnaire se dirigeait vers les jumeaux, lentement. Il s'arrêta arrivé à leur hauteur puis s'accroupit pour être à leur niveau :
-Alors les garçons qui veut jouer avec moi en premier ?
Les enfants reculèrent de quelques centimètres, leurs yeux grands ouverts de terreur. La rouquine s'était tue, elle avait laissé ses enfants dans le monde des vivants. Il soupira, détacha l'un des deux et le pris sur son épaule. Avant de fermer la porte il siffla presque immédiatement deux chiens apparurent, ils étaient noirs, de la bave coulait de leurs gueules, et ils grognaient :
-Bon appétit mes bébés. dit il avant qu'ils s'engagent dans l'escalier menant à la cave
Il ferma la porte violemment sur les aboiements des deux animaux et les cris terrorisés du petit garçon. L'autre se débattait désespérément. L'homme se mit à marcher, il se dirigea vers le grenier de la demeure. Arrivé à destination, il jeta sans ménagement l'enfant et claqua la porte. Le silence ce fit puis il eu un bruit, un couinement, puis un autre et encore un autre et une multitudes d'autres. Le grenier se mit en activité, et bientôt le petit garçon fut entourait de couinements. Il sentit quelque chose le chatouiller au niveau de son pied, puis remonter jusqu'à sa cuisse, un cri de douleur retentit sous le toit quand des dents se plantèrent dans sa chaire, ce fut comme un signal car à ce moment là tous les couinements fondirent sur lu. Un éclair apparut dans le ciel.
Dernière édition par Liberty M. Pendragon le Mer 29 Juin - 19:50, édité 1 fois |
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Liberty M. PendragonPrincess of the underwood Messages : 240 Date d'inscription : 22/05/2011 Localisation : Vous voulez que je vous envoie une carte ? Age : 17 years ago
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| Sujet: Re: Les éclairs dans le ciel Ven 10 Juin - 21:59 | |
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